Solar Impulse décolle pour son premier vol intercontinental Payerne, 23 Mai 2012 Placé sous le haut patronage du Roi Mohammed VI et invité par l'Agence Marocaine pour l'Energie Solaire (MASEN), le Solar Impulse de Bertrand Piccard et André Borschberg, a survolé hier le 24 mai 2012 à 06:45 (UTC+2) de Payerne (Suisse) à destination de Rabat (Maroc).
Le projet marocain des énergies renouvelables aura des retombées positives sur le développement économique et social (ministre)
Rabat- Le projet d'envergure lancé par le Maroc dans le domaine des énergies renouvelables aura un impact indéniable sur le développement économique et social du pays, a indiqué, la ministre de l'Energie, des mines, de l'eau et de l'environnement, Amina Benkhadra.
Dans une déclaration diffusée dimanche par la chaîne de télévision nationale 2M dans son journal de la mi-journée, la ministre a affirmé que ce projet, qui a été présenté à la 3ème conférence internationale dédiée à la gouvernance mondiale (World Policy Conference-WPC) qui se tient à Marrakech, permettra au Maroc de renforcer son interconnexion avec les pays voisins en particulier en ce qui concerne l'échange de l'énergie électrique.
Le plan marocain est désormais l’un des plus ambitieux au monde en matière de production d’électricité d’origine photovoltaïque. Quel en sera le coût ?
Voulu par le roi Mohammed VI et dévoilé, presque par surprise, le 2 novembre dernier, l’ambitieux programme solaire chérifien, qui coûtera 9 milliards de dollars, est confié à l’Agence marocaine de l’énergie solaire (Masen). L’objectif est de produire 2 000 mégawatts (MW) à l’horizon 2020 en construisant, sur une emprise totale de près de 10 000 hectares, cinq centrales solaires : à Ouarzazate (500 MW), Foum el-Oued (500 MW), Boujdour (100 MW) et Sebkha Tah (500 MW) dans le sud du pays, mais aussi à Aïn Beni Mathar (400 MW) dans la région de l’Oriental, qui abrite déjà une centrale thermosolaire.
Le programme permettra donc d’atteindre une capacité de production annuelle représentant 18 % de la production énergétique nationale actuelle, mais aussi d’économiser en combustibles 1 million de tonnes-équivalent pétrole (TEP), soit près de 500 millions de dollars, et d’éviter l’émission de 3,7 millions de tonnes de CO2 par an. La préqualification des candidats pour la première centrale, celle de Ouarzazate, qui doit être mise en service en 2015, aura lieu dès juin 2010, l’appel d’offres devant être lancé en septembre.
Une loi-cadre sur la santé et la sécurité dans l'entreprise est en préparation au ministère de l'emploi. Une cartographie des risques professionnels est déjà finalisée. Un institut des conditions de vie au travail sera créé. [Maroc : Sécurité, prévention des risques au travail, conformité sociale..., l'Etat serre la vis] C’est l’incendie de l’usine de Rosamor à Lissasfa, dans la banlieue de Casablanca, survenu en mai 2008, et qui avait fait 55 morts et plusieurs blessés, qui détermina les pouvoirs publics à prendre à bras le corps la question de la sécurité au travail ; les nombreux articles prévus à cet effet dans le Code du travail de 2004 ne paraissant pas pouvoir faire plier les chefs d’entreprise récalcitrants.
Le terme de "Développement durable" est très souvent utilisé ; c'est même un terme à la mode que l'on trouve de-ci, de-là, dans des publicités, des journaux, des textes officiels, des discours politiques. Mais malheureusement, il fait parfois (souvent !) l'objet d'une confusion simpliste : le développement durable serait, en somme, un développement qui préserverait l'environnement. C'est plus complexe que cela... (ritimo)
Aujourd'hui, il y a une vrai guerre des mots... chaque camp tente de devenir propriétaire des termes afin de leur donner leur propre image... Le développement durable fut ainsi SPOLIÉ par le capitalisme depuis 2 ans environ et actuellement ! c'est MAINTENANT que ça se passe.
Définitions : Développement durable : En théorie, c'est "un développement qui répond aux besoins des générations du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs" (wiki)
Hors, aujourd'hui, toutes les grandes entreprises et multinationales optent comme par magie pour le développement durable. Pourquoi ?
La logistique est la gestion intégrée de toutes les activités exigées pour déplacer des produits par la chaîne d'approvisionnement.
Pour un produit typique cette chaîne d'approvisionnement s'étend d'une source de matière première à la production et au réseau de distribution au point de consommation et la logistique inverse associée.
Les activités logistiques comprennent le transport de fret, le stockage, la gestion de stock, le traitement de matières et toute l'informatique liée.